23 avril 2024

Visits: 49

SŒURS MISSIONNAIRES DE NOTRE DAME D'AFRIQUE

Notre vocation en Tunisie : « Aimer, ça je pourrai faire »

Qu’est-ce qui t’a fait venir dans ce pays ? : « Quand j’étais novice à Logroño en Espagne, un Père Blanc venant de Tunisie est passé nous voir et nous a dit : une seule chose compte là-bas, c’est l’Amour. Ce n’est pas une mission traditionnelle. Je me suis alors dit : Moi je ne sais pas parler mais je pourrai essayer d’aimer !  J’ai écrit à mes responsables … et voilà plus de 50 ans que j’apprends à aimer ! » Sr Maria.

On nous appelle ‘Sœurs Blanches’.

Notre vrai nom est « Sœurs Missionnaires de Notre Dame d’Afrique ». Notre famille religieuse est née en Algérie en 1869. Notre fondateur, le cardinal Charles Lavigerie alors évêque d’Alger, a voulu que nous soyons le plus proche possible des femmes du pays. Notre vêtement religieux ressemblait à celui des femmes algéroises qui était blanc. C’est ainsi que la population nous a appelés ‘Sœurs Blanches’, rien à voir avec la couleur de la peau !

Ce que nous pouvons retenir de cette histoire, c’est notre proximité avec les femmes des pays dans lesquelles nous vivons. Proches par l’habit, proches par la connaissance de leur langue, proches par notre travail avec elles, « femmes avec les femmes » par les amitiés tissées au-delà de nos origines culturelles, religieuses et sociales.

Des femmes ‘constructeures’ de ponts

Nous faire « TOUT A TOUS » comme le dit l’apôtre des nations, Saint Paul. Être ‘toutes à toutes et à tous’ est cher au cœur de chaque Sœur Missionnaire de Notre Dame d’Afrique.

Ici en Tunisie depuis 1882, nous partageons notre vocation en nous adaptant aux lieux et à l’évolution du pays. A travers nos engagements, être des ‘constructeures’ de ponts entre des personnes de religions et cultures différentes ; ouvrir des horizons aux laissés pour comptes ; lutter contre toutes formes d’esclavage humain, écologique… Être des femmes de prière, de foi et de service, telle est notre vocation de ‘Sœurs Blanches’.

« Le Bien ne fait pas beaucoup de bruit et le bruit ne fait pas beaucoup de bien ! »

Nous sommes engagées dans le dialogue islamo chrétien par notre présence et notre service auprès des enfants de notre quartier du Tabok à la Marsa par du soutien scolaire et prêt de livres dans notre bibliothèque. Bénévoles tunisiens, expatriés et sœurs travaillent ensemble.

L’apprentissage de l’arabe tunisien est une tradition bien ancrée chez les Sœurs Blanches et dont des centaines de personnes ont bénéficié depuis des décennies : personnel du diocèse, conjointes de Tunisiens, étudiants, chercheurs, entrepreneurs, diplomates, jeunes Tunisiens qui ne connaissent pas la langue d’un de leurs parents …  Nous continuons à offrir des cours de langue en arabe tunisien avec la méthode de Sœur Madeleine Prim avec le Centre d’Etudes Diocésain et grâce à des femmes Tunisiennes heureuses de transmettre leur langue.

Le cardinal Lavigerie, à l’invitation du Pape Léon XIII, a mené une grande campagne anti esclavagiste dans toute l’Europe. Son cri contre les esclavages résonne fortement en chacune de nous. Nous continuons à y répondre par nos engagements à Caritas, dans notre quartier…

Mettre la main à la pâte.

Bienvenue chez nous ! ( sblamarsa@gmail.com tél : 71 72 87 99) Un dessin fait par notre sœur Magali. vous accueillera avec cette phrase : « Le pain de l’hospitalité n’est jamais cuit d’avance, il se fait ensemble entre ceux qui accueillent et ceux qui arrivent. Chacun y met son poids de farine et sa mesure de levain. » Charles Méraud

Ensemble, continuons à mettre la main à la pâte puisque Jésus nous a demandé d’être levain, sel et lumière dans le monde !

Sœurs Melika, Maria, Amalia, Speciosa et Cécile

 

N'hésitez pas de nous contacter

PAROLE DU JOUR

CALENDRIER

avril 2024
L M M J V S D
1234567
891011121314
15161718192021
22232425262728
2930  

SŒURS MISSIONNAIRES DE NOTRE DAME D'AFRIQUE

QUI SOMMES NOUS

Notre vocation en Tunisie : « Aimer, ça je pourrai faire »

Qu’est-ce qui t’a fait venir dans ce pays ? : « Quand j’étais novice à Logroño en Espagne, un Père Blanc venant de Tunisie est passé nous voir et nous a dit : une seule chose compte là-bas, c’est l’Amour. Ce n’est pas une mission traditionnelle. Je me suis alors dit : Moi je ne sais pas parler mais je pourrai essayer d’aimer !  J’ai écrit à mes responsables … et voilà plus de 50 ans que j’apprends à aimer ! » Sr Maria.

On nous appelle ‘Sœurs Blanches’.

Notre vrai nom est « Sœurs Missionnaires de Notre Dame d’Afrique ». Notre famille religieuse est née en Algérie en 1869. Notre fondateur, le cardinal Charles Lavigerie alors évêque d’Alger, a voulu que nous soyons le plus proche possible des femmes du pays. Notre vêtement religieux ressemblait à celui des femmes algéroises qui était blanc. C’est ainsi que la population nous a appelés ‘Sœurs Blanches’, rien à voir avec la couleur de la peau !

Ce que nous pouvons retenir de cette histoire, c’est notre proximité avec les femmes des pays dans lesquelles nous vivons. Proches par l’habit, proches par la connaissance de leur langue, proches par notre travail avec elles, « femmes avec les femmes » par les amitiés tissées au-delà de nos origines culturelles, religieuses et sociales.

Des femmes ‘constructeures’ de ponts

Nous faire « TOUT A TOUS » comme le dit l’apôtre des nations, Saint Paul. Être ‘toutes à toutes et à tous’ est cher au cœur de chaque Sœur Missionnaire de Notre Dame d’Afrique.

Ici en Tunisie depuis 1882, nous partageons notre vocation en nous adaptant aux lieux et à l’évolution du pays. A travers nos engagements, être des ‘constructeures’ de ponts entre des personnes de religions et cultures différentes ; ouvrir des horizons aux laissés pour comptes ; lutter contre toutes formes d’esclavage humain, écologique… Être des femmes de prière, de foi et de service, telle est notre vocation de ‘Sœurs Blanches’.

« Le Bien ne fait pas beaucoup de bruit et le bruit ne fait pas beaucoup de bien ! »

Nous sommes engagées dans le dialogue islamo chrétien par notre présence et notre service auprès des enfants de notre quartier du Tabok à la Marsa par du soutien scolaire et prêt de livres dans notre bibliothèque. Bénévoles tunisiens, expatriés et sœurs travaillent ensemble.

L’apprentissage de l’arabe tunisien est une tradition bien ancrée chez les Sœurs Blanches et dont des centaines de personnes ont bénéficié depuis des décennies : personnel du diocèse, conjointes de Tunisiens, étudiants, chercheurs, entrepreneurs, diplomates, jeunes Tunisiens qui ne connaissent pas la langue d’un de leurs parents …  Nous continuons à offrir des cours de langue en arabe tunisien avec la méthode de Sœur Madeleine Prim avec le Centre d’Etudes Diocésain et grâce à des femmes Tunisiennes heureuses de transmettre leur langue.

Le cardinal Lavigerie, à l’invitation du Pape Léon XIII, a mené une grande campagne anti esclavagiste dans toute l’Europe. Son cri contre les esclavages résonne fortement en chacune de nous. Nous continuons à y répondre par nos engagements à Caritas, dans notre quartier…

Mettre la main à la pâte.

Bienvenue chez nous ! ( sblamarsa@gmail.com tél : 71 72 87 99) Un dessin fait par notre sœur Magali. vous accueillera avec cette phrase : « Le pain de l’hospitalité n’est jamais cuit d’avance, il se fait ensemble entre ceux qui accueillent et ceux qui arrivent. Chacun y met son poids de farine et sa mesure de levain. » Charles Méraud

Ensemble, continuons à mettre la main à la pâte puisque Jésus nous a demandé d’être levain, sel et lumière dans le monde !

Sœurs Melika, Maria, Amalia, Speciosa et Cécile

CONTACT